Comment vient-on à la peinture ?
En ce qui me concerne, cela remonte à mon enfance. En naissant, j’ai atterri dans un monde de couleurs et de lumières et cela m’a de suite fasciné. C’est pourquoi je suis avant tout un « coloriste ». Je me souviens, étant enfant, être resté assis devant un coucher de soleil pour voir défiler cette suite de couleurs toujours renouvelées d’un jour à l’autre ; les levers aussi, bien que celles-ci soient différentes ; et puis, il y a les couleurs du printemps, de l’été, de l’automne (et de l’hiver) qui ont inspiré tant de peintres.
L’expression
Les motivations et les techniques présentées , parlons de l’expression.
Tout d’abord, l’interprétation : (paysage ou personnage) on ne reproduit pas quelque chose ou quelqu’un, on interprété à travers son vécu ou son acquis.
Ensuite mes réflexions face à des sujets plus abstraits (philosophiques par exemple) et à certains mystères :
- Origine de l’homme
- L’Atlantide
- Les OVNI
- L’Alchimie
- Etc
Comment je m’exprime ?
Tous les moyens classiques tels que : fusain, sanguine, pastels, aquarelle, acrylique, huile, gouache, techniques mixtes… J’aurais bien fait de la gravure, mais c’est trop compliqué et trop lourd de mise en œuvre, Monotype par contre … oui.
Je crois, par cette petite introduction, avoir présenté Stéphane KONDRACHOFF, peintre autodidacte et éternel dilettante.